Galaxie d’Andromède à gauche, Voie Lactée à droite, rencontre prévue dans 4 milliards d’années (vue d’artiste d’après une imagerie certainement de source scientifique et astronomique). |
Avant on avait un village français. Maintenant il n’y a plus qu’un Finistère local.
Vous n’avez jamais entendu la bonne nouvelle ? La mauvaise aussi ? Alors vous êtes sauvés ?
Les premières bonnes volontés depuis 1945 en France s’expriment paisiblement, pacifiquement, pacifistement, par la bouche et la langue et les dix doigts des mains ouvertes en chahutant la lune et le soleil dans les nuages les cervelles éclaircies en interne, en citernes, à l’ampoule qui s’allume au réveil jusqu’au dodo. En verres les bouteilles ou en pression aux bars, en terrasse et comptoir avec les paillettes et les pieds qui chahutent les rues en croisant les plus belles personnes inconnues bien nées paisiblement et qui marchent pour guérir les violences et les êtres mal faits et engendrés douloureusement. L’acceptation paisible et assumée par chacun des bébés et des enfants, des adolescents et des adultes, d’où qu’ils et elles viennent est prière du jour ou poésie d’amour.
Citoyen 4Sanchton
Tu as un visage de boule de cristal
Le temps de réapprendre à boire et nous parler
De l’univers et Dieu, des pommes, des mystères
Seul le futur m’intéressait, — qu’avant que quoi donc où ? —
Faites-moi l’amour à partir de votre téléphone en mémoire de notre rencontre, c’est ma dernière volonté jusqu’à la preuve cent douze mille cent treize où vous apparaissez, en vrai, chère créature cosmique angélique et bien sapée.
La ritournelle d’Yzoucal
Elle conduira la dame blanche
Vers son étoile le dimanche
À bord de sa fusée, garée ailleurs…
Sachez qui sont les révolutionnés
Avant de lire dans ce fatras…
J’aurai pensé zarathoustra
Mais jamais su qu’en un bocal
Huit milliards étaient en cristal…
Les Français sans histoire sont donc tombés du ciel à côté de la plaque des Gaulois. Aucune victime ni plaignant à ce jour. Autrefois on tolérait les hypocrisies par solidarité envers les victimes qui le demandaient par don de prophétie, rares et pleines de joies de conscience, avant de souffrir du délire qui prenait, des zozobules aux gentillons, des champignons aux hérités, d’outre-ermites en sopholies, de vanités en vroom-à-frimes, tout ce beau monde qui se traduisait en hypocrisies dictées par la conscience qui me parle de nos zébulons. Autrefois, nous étions dirigés par la pointe assassine de la pine — de Mozart, sous la plume du jugement d’une volonté, François Mitterrand, race inconnue (de visu). C’était inutile, Mozart ayant l’oreille absolue. Donc l’ex-président sorti en 1995 n’a depuis ses crimes et sa mort tenu aucune raison logique dans l’histoire de l’humanité entière. Il était l’hypocrisie locale connue et diagnostiquée mais jamais prise au sérieux sérieusement, son désastre et sa deuxième dictature en est la preuve. Si le monde présent des zébulons, des paillons et ploubigazo encore muguets d’amour finaud ne le sait pas, c’est que l’école d’où ils sont sortis leur parle encore dans les phrases et remarques pensées que voici, mes bubus bien ou mal lulus. FM était de ruine, espèce inconnue, inhumaine, trop paumé, sinistrosé par la névrose et le cancer. Il écrivit et publia des livres d’un cœur incommunicable, non lu, mal pensé et inutile en politique, pour se présenter, lui avec sa prose sinistrosée et sa rose aux images en main, une audace à frémir, sur une tombe vide, un symbole aux armes. Tout le monde dormait ici, mais qu’en dis-tu ? À quinze ans j’ai prié et demandé à ma sainte religieuse anniversaire Emma, de descendre et mettre la paix sur la terre, arrêter la guerre. J’étais dans mon lit, révolté et en furie contre ce qui dans ma vie et mon âme n’existe pas, sauf de mémoire d’un avocat qui tue et cherche une clientèle après reconversion, quatorze ans de pouvoir président mal payé, dont quinze sans mourir de sa prostate et de sa rate. Dur dur d’être raté. Sait-on si l’histoire dure est plus dure au matin de la rosée qu’à la charge d’un seul au service d’une rareté et d’endormis bubulles éblottis dans nos bras à l’armée. La mort fut abolie en France, et Dieu y croit encore, mais Mitterrand athée voulut la mort des peuples et de Dieu réunis. Il revenait de loin, de Vichy, il lui fallait honorer sa famille et son choix de vivre en résistant comme un triste et lugubre, et à nous d’admettre qu’il est mort trop jaloux d’avoir trop su l’histoire, sans la lire en pensée, sans glander dans les bars. Pourtant que faire, après une deuxième guerre mondiale ? Tout le monde, étonné, lugubre et attristé par la mort des Juifs et homos fous ou d’entre autres soldats apeuplés tous. D’où venait la folie ? Comment chasser nos mauvais esprits ? Dieu élit, Dieu voyez comme c’est nous. Dieu écrit désormais depuis la paix écrite l’histoire humaine en donnant un coup de fil à deux schtroumpfs, entourés de Zélon d’Innée, de Blouzébol et de Nashadée, tous et toutes accompagnées d’un défilé de zébulons nécessaires rameutés des autres aux uns. Parles-en autour de Dieu, puisque tu es dedans, moi autour, et Dieu au-dessus de nous, sauf chez Jésus ou il est avec lui et là où ils sont tous deux, comme père et fils, chez celui qui lit et parle comme je parle et je lis, comme quand on se parle en vrai, à deux, à plus ou en solo, normal. La mort est morte, logique. La vie arrive pour revenir et continuer. Le peuple est bon. Si un élu ou plus lui ment, c’est mal. Si un peuple choisit d’élire les pires, il meurt, sauf l’Allemagne, qui survit en limonade au citron depuis Nietzsche et Nietzsche dure, la vie est dure et je lis les artistes, dont Nietzsche, pour la vivre et revivre avec toi, mon plézigull, et avec tous nos abonnés de l’ivre ici. Ici notre pelure d’orange, belle et gentille, aussi logique. Les hommes sont moroses, les veuves vaccinées et les parias de trop. J’avance en silence illogique mais je m’explique, bonsoir.
Message spécial ^^.
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